Il faisait chaud et beau. Le Tzar était accoudé à la fenêtre du palais: le ciel était bleu et sans nuages, une belle journée de printemps comme il les aimait. En regardant au-delà des murailles de la ville, il distingua un large groupe de cavaliers.
Un kossar, haletant, entra dans la salle du trône:
_ Mon Tzar ! Un certain Karl von Lugen arrive à Kislev et demande à vous voir. Il est à la tête d'une trentaine de cavaliers. Une centaine d'hommes le suivent de près. Ils viennent de la cité de Nuln.
_ Je suis prêt à le recevoir, qu'il entre.
Bienvenue à toi Karl von Lugen. Je vois que les qualités martiales de nos guerriers t'intéresse. Je serai heureux de t'adjoindre plusieurs de mes meilleurs Kislévites.
P.S. : j'ai grand hâte de retourner au bal masqué de la ravissante Emmanuelle Von Liebwitz...